En ces temps de pandémie virale, il semble important d’aborder le sujet du changement climatique et de son impact dans le développement de nouvelles maladies.
En effet, encouragées par le réchauffement climatique, les voyages et le commerce international, les maladies vectorielles (transmises par des insectes tels que les moustiques ou les tiques) toucheront une grande partie de l'Europe dans les décennies à venir. La France doit donc s’y préparer, et ce même si le rythme et l'ampleur de cette expansion restent difficiles à anticiper.
L'événement récent le plus marquant est l'épidémie de chikungunya qui a frappé l'Italie dans le courant de l’été 2017 avec plus de 400 cas, la maladie n'ayant été identifiée par les pouvoirs publics qu'au bout de plusieurs semaines. Heureusement, nous faisons encore partie des « zones tropicales à temps partiel » où les hivers sont suffisamment froids pour que la transmission de ce type de maladie s’interrompe. Mais pour combien de temps ? A mesure que les périodes de canicule se multiplient, cette "fenêtre" pendant laquelle ces maladies peuvent se transmettre va devenir plus large, favorisant des contagions de plus grande importance.
Les fortes chaleurs, de plus en plus fréquentes, pourraient avoir une répercussion sur notre santé, avec l'apparition de nouvelles maladies. Après plusieurs épisodes caniculaires ces dernières années, la France se pose la question : doit-elle s'habi-tuer à des températures au-delà de 40 °C ?
Des virus aujourd'hui contingentés aux régions proches de l'Équateur, pourraient arriver en Europe si la hausse globale des températures est de 2° d'ici à 2100, comme l'espèrent les experts du climat et les signataires de l'Accord de Paris. De fait, les insectes vecteurs de ces infections vont proliférer. Ce qui explique pourquoi le moustique tigre implanté initialement uniquement dans le sud de la France, arrive petit à petit à se développer dans des départements de plus en plus au Nord.
Quel est l’impact du changement climatique ?
C’est un phénomène accélérateur, l’augmentation de la température a plusieurs effets sur le moustique tigre :
• Tout d’abord plus il fait chaud, plus son cycle de développement de l’oeuf à l’adulte, se raccourcit. Donc plus la température augmente, plus le moustique devient adulte rapide-ment.
• Ensuite, plus il fait chaud, plus vite il devient vecteur de maladie.
• Enfin, le moustique tigre est doué d’une grande plasticité génétique : lorsque son milieu se modifie, il a la capacité d’évoluer rapidement. Aedes albopictus a même la possibilité de mettre en sommeil ses oeufs lorsqu’il effectue un long voyage. Et les longs voyages, il adore ! On sait maintenant que le moustique tigre a profité de l’expansion du commerce international pour rallier les cinq continents.
Mais ce qui inquiète aujourd’hui les scientifiques est que ce moustique particulièrement agile génétiquement, côtoie des virus (celui de la dengue, du zika et du chikungunya notamment) qui le sont tout autant. Et à force de les côtoyer, les virus pourraient eux aussi s’adapter à ses nouvelles conditions tempérées. L'apparition de nouvelles maladies tropicales, avec la multiplication des moustiques tigres, est aussi redoutée.
Prenons l’exemple de la femelle du moustique tigre : elle est capable de transmettre plus de 20 virus, dont ceux de la fièvre jaune, de la dengue, du chikungunya et du Zika. Aucun autre moustique ne peut en transmettre autant.
Alors comment bien se protéger ? Le seul moyen de se protéger est de lutter contre le moustique par quelques gestes essentiels et du bon sens : ne pas laisser des points d’eau stagnante par exemple ou utiliser des moustiquaires. En période épidémique, il faut éradiquer le moustique par des insecticides. Mais comme il a développé des résistances, nous nous trouvons dans une situation où ils ne sont plus efficaces à 100 %. Alors dans les zones infestées, il est recommandé de multiplier le nombre de protections, de faire de la prévention et de l’éducation.
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